« Même pas peur ! », c’est la réaction de l’opposition burkinabaise après le meeting, du samedi 12 avril, où la mouvance présidentielle a réuni ses partisans dans la ville de Bobo-Dioulasso afin de réclamer un référendum constitutionnel. Ce référendum est destiné à modifier la Constitution pour permettre au président Blaise Compaoré de se représenter en 2015.

Depuis que nous avons commencé notre combat contre le Sénat et la révision de l’article 37, nous avions bien dit que nous le faisions, car nous étions convaincus que le président Blaise Compaoré et ses supporters avaient l’intention de procéder à cette révision.
Zéphirin Diabréle chef de file de l’Union pour le progrès et le changement, l’un des principaux partis d’opposition au Burkina Faso15/04/2014 – par Olivier Rogez, RFI
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